Pakiri beach > waipu cove (54km, 3h50)

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Cette fois j’ai pratiquement pas pris la route principale. J’ai passé 4 heures à être observé par des vaches, des moutons, des chevaux et meme des ânes qui soit dit en passant sont de loin les moins trouillards. J’ai encore failli me faire attaqué pas un chien. Je sais pas ce qu’ils ont avec moi. Même les chiens à 200 mètres de moi dans un près derrière la route se focalise sur moi à mon passage, c’est fou ça!
Ca a fait du bien de rouler au calme durant toute la journée et j’ai évité pas mal de cotes car le jour précèdent était plutôt chaud. Les 5 derniers kilomètres (sur les 53 parcourus) m’ont malheureusement rappelé à l’ordre et … Ouf! … Fiou! … Rah!… J’en pouvais plus! Au final je suis tombé sur un jolie camping mais un poil cher (20$) gloups. Budget de 15$ par jour encore dépassé… Vivement que je bosse! :-)

3 thoughts on “Pakiri beach > waipu cove (54km, 3h50)

  1. Salut Damien ! j’ai du mal à suivre tes péripéties Un jour tu dis que tu as trouvé du travail pour la cueillette (de quoi ?), et avec Yan !!!! Et là, te voilà reparti sur les routes et dans les campings ?
    Bon, attendons la suite alors !

    Gros bisous

    Maman

  2. Maman,
    Je pense qu’il a trouvé ca sur internet quand il était chez Yan et que la destination est l’endroit ou se trouvent les prunes
    Damdam,
    Il ne devait pas y avoir une photo du chien qui te coursait pendant que tu pédalais a fond, entre les “…” ^^. On aimerait bien la voir celle ci ;-)

  3. Oui c’est bien ca max, je vais à Kerikeri car c’est là que la plupart des boulot se trouve et Yann me la confirmé. C’est chez lui qu’on est allé sur le net pour trouver les bonnes infos. Je ne vais donc pas travailler avec yann:-)
    Et non, pas de photo de chien. Surtout que je peux pas me fier à la taille pour évaluer le danger. Certain sont vraiment pas rassurant. Il me court apres, je ralentie pour pas qu’ils me chopent et que je me vautre lamentablement. Une fois à l’arrêt je dirige le plat du pied vers pour qu’il me croque la chaussure plus que le mollet. Et sitôt que je bouge il s’énerve le machin.
    D’autre ne font que courir devant leur propriété mais je sais jamais si ils vont continuer ou non. Sale bête !

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